Survivre


Hante par des souvenirs, pourchasser par des images qui me sont familière, « une résurrection éternel» d’un passe importune, ce désir long, il reste inassouvie, une envie, une vie faucher jusque à l’os, je regorge mes peins, il me tiens à cœur , une dernière volante « mettre un terme » l’écume des vague qui surgie restent instable, ma vie, me parait indésirable, je consume ma peine, je suis vivant, « seul les vivant ont le devoir de vivre »

l’étendard


étendard, je cherche un rempart pour m’abriter, fuir cette vie dont je perd garde , ce regard qui me fige, sans mots à la bouche,j’observe du loin ce même regard, je me débat sur un ton , un peut sinistre, déclamant cette tristesse si vrillante, que je me sens si fragile devant cette émotion qui prend le dessus, sur ma propre personne, j’avais le sentiments d’être sans me sentir ma présence, je me verse dans un monde vider de toutes réactions, de toutes sensations, de touts sentiments, tous ces fait et gestes qui me font sombrer dans le vide  » le néant » cette conception me laisse sans mots a dire, ni savoir même faire, se labyrinthe sans issus malgré cette immense négation, ce désespoir qui me hante, cette faiblesse qui m’élance dans une atmosphère si obscure que j’arrive même pas a distinguer un petite louer de lumière, c’es la que je me dis »je suis entièrement aveugle, ni sentir, ni voir l’entendue de ce tumulte qui m’habite » je m’obstine a vivre tous en gardant ce triste souhait celui de vouloir un jour « mourir » qui peut on espérer de ce monde en ruines de cette vie qui n’aspire qu’a mourir? j’avais cette envie « de me battre » avec le temps je me démunie a me débattre tantôt avec l’existence, tantôt avec l’évidence, le destin et la plus part de temps avec moi même, l’écart d’un moment a un autre, d’un instant a un autre , d’un éclat de souffrance ou de bonheur, d’un sentiment de jouissance ou de nuisance, on ne peut blâmer que nous -mémé devant cette dégradation, de cette déformation qui nos a plonger dans cette obligation d’affronter la négation quasi infranchissable, la dépendance deviennes habitude , sommes-nous capables d’apporter un changement a notre existence, le récit de monde qui ne cesse de devenir immonde, les reproches, les remords, les regrets, avec tous ces caractères, des êtres subissant malgré eux ce tas d’amas désagréables qui construit leurs existence.

que faire?


    Quel chemin faut-il suivre ? Je m’assoie sur cette chaise, observant tous ces gens qui marchent en travers, les uns bousculent les autres, certains écrasent d’autre, quelqu’un blessent certains. On voit même des crimes, que se soit par simple volante, ou bien tous bêtement par ignorance, y’on a même ceux qui le font dans un but précis, alors j’aimerai tans savoir jusque a quand sa va êtres ainsi ?
   Assis dans mon coin a pensé, ce qui a été déjà pensé, au part avant, je m’interroge sur des sujets qu’ont déjà fait de longues années d’interrogation ; sommes nous vraiment des êtres humains capable de raisonner logiquement et tout a fait contiens de nos actes? Sommes nous réduit a satisfaire nous-mêmes ? 
   Le bonheur, la joie, la paix, la liberté, a quel prix je me le demande, toutes personnes a le droit de vivre heureuse.
   Tout le monde cherche le bonheur, mais pas au détriment des autres.
   Tout le monde veut vivre dans la joie, mais pas nuire a la joie de vivre des autres.
   Tout le monde recherche la paix, mais pas en gâchent la paix des autres.
   Tous le monde réclament la liberté, mais pas on ôtant au autres leurs liberté.
   Je ne peut dire que je vaux mieux que vous ou bien vous mieux que moi : 
   L’harmonie voila ce qu’il faut chercher dans la vie.
   L’équilibre voila ce qu’il faut avoir dans la société.
   Le contentement voila ce qu’il faut arroser dans les cœurs des gens.
   On ne devient pas meilleurs en détruisant la vie des autres.
   On ne devient pas riche en volant l’argent des autres.
   On ne devient pas bon en achetant la conscience des autres.
   Quelque soit ta richesses, tes titres, tes responsabilité, ton savoir, tu reste toujours un êtres humain comme tous les autres, on ne juge pas une personne a ce qu’elle a mais a ce qu’elle fait, bon ou mauvais seul a travers le temps on peut déduire la valeur d’un homme, la seul échelle qui compte celle qui te remonte ou tu rebaisse, celle que chacun de nous a don son corps, l’âme et le cœur, ta vie entre tes mais a toi de voir ce que tu va réaliser de ce don devin.
   Le respect m’oblige à ne pas mettre tous le monde dans la même case, l’esprit fait de l’homme ce qu’il est, alors libérez vous esprit de cet esclavage qui vos détruit, libérez vous de cet amour qui vous désunie, vers l’amour qui vous unie.
Ses mots résonnent dans ma tète, un bruit qui m’embêtent, Tous sa me révolte.

l’évidence


Être sensible a certain mauvaise qualités, ce bouleversement da la société un changement de tout les cotés, celle des idées importe aussi des pensées simplement accepté sans pouvoir en juger de leurs qualité.
Arbitraire telle est l’évidence de notre société, déraciner nul ne peut le contredire ou va-t-on personne ne peut le prédire, je veux simplement le dire, car chaque jour la situation s’empire. On côtoie les apparences, d’une minute a l’autre des milliers de personne changent d’appartenance, on as écrasé nos principes et vers l’inconnue o avance, on se dit c’est la modernité, or que on se range de coté de la médiocrité, je ne vais pas décrété le bon sens mais si telle l’essence de l’existence alors moi je perd mes sens, dans ce cas je m’égard dans le mauvais sens !!!.
Pourquoi dont cette indifférence ?
Mon voisin dans l’insuffisance moi dans je me noie dans la jouissance.
Des milliers de gens cherchent un toit ou s’abriter, quelqu’un dans leur temple
Des pères qui cherchent un travail pour nourrir leur famille, d’autre ont l’orgueil de la gaspillée
Des gamins priver d’écoles, et on s’acharne a signer des protocoles
Des femmes battues, leur cœur brule, certain hommes sont tout simplement des crapules
Le respect m’oblige a ne pas généraliser, je rend hommage a tous les êtres marginaliser je égard en mémoire ses milliers de visage en larmes, mon cœur se blâment de ne pas être a la hauteur de ce qu’il réclame, en moi brule les flammes de la justice révolter contre l’injustice de ce manque de civisme, de ce mutisme, de ce libéralisme, de ce socialisme de tous les système qui se vante d’idéalisme, de ce patriotisme qui rempile les poche a l’égard des pauvres, des ses bouches emperler de belle paroles alors qu’il pense a autre chose.
Je recherche le bon sens tout seul dans ma pensée, je me révolte contre toutes ses pratiques insensées

prêt à porter


Prêt à porter

Je pred l’apetie

Un monde sans petie

Un peuple sans piete

Des gens entete

Masacres arrete

Guerre contre l’humainite

Tous sa c’est de la lachete

Aucune degnitie

Tuer sans regrete

Estimer la gravite

Tuer pour des futilites

Etat endete

Peuples dans la pauverete

Ni acord ni traite

La force fait l’autorite

Relegion ou bien laicite

Sentiment de fraternite

Oblige de s’aquitte

De devoir de nionalite

Le serement de fedilite

Monque de tonalite

On a besoin de serinite

Beaucoup  de tranquilite

Énormément d’amities

Affronte la realite

Réclamons la verite

Pour que vive la liberte

Mieux Lire (extrait)


Image
Que doit-je faire pour vivre, je voyage a travers mes souvenirs, ma situation s’empire, de pire en pire, mon prénom est Samir, je suis sur la ligne de mire, de sous en me tire, des regards et bien pire des rire, seul je délire, j’arrive plus a lire, portant sur mon visage je dessine un sourire. 
Un sourire glacé, je me sens menace !!!? J’aimerais tout effacer, je aimerais bien que quelqu’un vient me remplacer, oui bien quelqu’un qui peu me déplacer, vers l’au-delà, là-bas peut être j’aurais une place pour m’installer.

le sourire


Cette nuit, lorsque, je me suis endormi.

J’ai fait un rêve.

Une promenade au fond de sommeil.

Soudaine, j’ai vue la vie me faire un joli sourire.

Sa me fusais rire, plus que sa encore.

Plonger dans un fou-rire.

Insoutenable, sans pouvoir m’arrêté. Bizard !

Je savais bien que je rêvais, moi qui rêve d’un sourire!

Derrière, je me lance a courir, des années, sans jamais l’atteindre.

Dans mes mains j’allais le prendre, sans jamais le saisir.

L’embaumer dans mon cœur, sans jamais le faire périr.

Dans ma pensée le faire vivre, sans jamais le laisser partir.

Sur ses pas, je ne fait que le suivre.

Sur les rimes de mes mots, de mes vers, de mes poèmes, le faire frémir.

Ses rayons exaltent mon ombre !

Sur les lèvres tendres, sans pouvoir le rendre.

Triste lèvres amer, qui ne peut plus le donnée.

Je voulais faire avec lui une randonnée.

Une promenade, j’aimerai tant boire de sa limonade.

Et là, j’apaise me soif de sourire.

Je simule le sourire que je dissimule dans le tumulte.

Le fugitif continue sa fuite, moi je m’acharne a continué la poursuite.

A travers ses pas, je tracerai mon chemin.

Sur ses mots, je construirais ma maison.

 Sur ses terres, je bâtirais mon palace.

Dans son univers, je créerais mon monde.

Le sourire venue de bout de monde, pour atterrir dans mon âme.

Se dévoile sur mon visage devenu l’usage des lèvres des êtres.

Comme une dernière lettre !

Le sourire c’est une fleur.

Qu’il faut le nourrir, avec l’élixir qui fait rougirai.

L’arroser avec l’eau venue de fond des lacs de plaisir.

Pour enfin servir l’océan de bonheur.

Qui nos rendra de bon humour.

Et chaque jour le faire vivre.

Jusque a ce que ‘il soit éternel dans nos cœurs mortels.