Mieux Lire (extrait)


Image
Que doit-je faire pour vivre, je voyage a travers mes souvenirs, ma situation s’empire, de pire en pire, mon prénom est Samir, je suis sur la ligne de mire, de sous en me tire, des regards et bien pire des rire, seul je délire, j’arrive plus a lire, portant sur mon visage je dessine un sourire. 
Un sourire glacé, je me sens menace !!!? J’aimerais tout effacer, je aimerais bien que quelqu’un vient me remplacer, oui bien quelqu’un qui peu me déplacer, vers l’au-delà, là-bas peut être j’aurais une place pour m’installer.

le sourire


Cette nuit, lorsque, je me suis endormi.

J’ai fait un rêve.

Une promenade au fond de sommeil.

Soudaine, j’ai vue la vie me faire un joli sourire.

Sa me fusais rire, plus que sa encore.

Plonger dans un fou-rire.

Insoutenable, sans pouvoir m’arrêté. Bizard !

Je savais bien que je rêvais, moi qui rêve d’un sourire!

Derrière, je me lance a courir, des années, sans jamais l’atteindre.

Dans mes mains j’allais le prendre, sans jamais le saisir.

L’embaumer dans mon cœur, sans jamais le faire périr.

Dans ma pensée le faire vivre, sans jamais le laisser partir.

Sur ses pas, je ne fait que le suivre.

Sur les rimes de mes mots, de mes vers, de mes poèmes, le faire frémir.

Ses rayons exaltent mon ombre !

Sur les lèvres tendres, sans pouvoir le rendre.

Triste lèvres amer, qui ne peut plus le donnée.

Je voulais faire avec lui une randonnée.

Une promenade, j’aimerai tant boire de sa limonade.

Et là, j’apaise me soif de sourire.

Je simule le sourire que je dissimule dans le tumulte.

Le fugitif continue sa fuite, moi je m’acharne a continué la poursuite.

A travers ses pas, je tracerai mon chemin.

Sur ses mots, je construirais ma maison.

 Sur ses terres, je bâtirais mon palace.

Dans son univers, je créerais mon monde.

Le sourire venue de bout de monde, pour atterrir dans mon âme.

Se dévoile sur mon visage devenu l’usage des lèvres des êtres.

Comme une dernière lettre !

Le sourire c’est une fleur.

Qu’il faut le nourrir, avec l’élixir qui fait rougirai.

L’arroser avec l’eau venue de fond des lacs de plaisir.

Pour enfin servir l’océan de bonheur.

Qui nos rendra de bon humour.

Et chaque jour le faire vivre.

Jusque a ce que ‘il soit éternel dans nos cœurs mortels.