La semence


La semence des coups dans mon dos, j’en est bien reçu, dessus, l’homme que j’étais, la fièvre s’empare de mon corps faible, la tristesse assombrie mon regards , mes yeux embaumer dans un nuage sans fumés, je ne distinguer que les voix qui résonnent dans mon âme, les couleur, je me définissais au noir corbeau, la nuit, je fume dans les mots qui m’asperge d’un peu de sérénité, un parfum d’un gout inconnue, une douleur me perce le cœur, pénètre au profondeur, le royaume des désirs inassouvie, des regrets incorporer, des malheur, tant, que reste-il? Le mystère de la vie, « la magie, ou toutes est écrit dans un grand livres que Dieu seul peut lire » un bout de file entre nous mains, l’autre bout, il ne reste à l’accomplir, je cherche ce destin dont le bruit me fait des scènes, d’un pas trébuchant vers l’avant, l’avenir m’attend, attendre le temps, juste continuer. Le vent de l’automne, c’est le moment de labourer terre et semer les grains, je suis ce paysans qui porte les marque de la rigidité de la terre, des heurs voir des jours , a faire , que faire de bien que de cultiver les champs et les prairies , a perte de vue, des champs de blés et de mais, de temps qu’il faut pour être soyer par la verdure, la verve d’un paysans , la muse d’un poète, l’un arrose les terre , l’autre contemple la fleurissons, magique ,nourriture pour vaincre la faim, poème pour vaincre l’ignorance. Le grand silence, la murmure des rêves d’un terre fertile, d’un champs verdoyant, au couleur « arc-en-ciel » une promenade dans l’univers qui nous fait vivre, d’un rive a l’autre, d’une plume, un morceau de bois, une tige, un feuilles, une fleur, une goutte d’eau qui apaise la soif d’un homme, d’une femmes d’un enfant, une naissance, un miracle au bout de monde, un songe qui se réalise sous le regard émerveilliez, de miel au bout des lèvres, des sentiment au souffle des cœurs, des larmes au seuil des regards qui partage la même soif, la même faim, le même chagrin, ce sourire attendue, ce recueil inattendue, ce soupir qui enflamme les bout des lèvre, ce bout d’amour qu’a tant voulue, cette femme tant aimer, cette homme tant adorer , cette enfant tant espérer, cette réussite au bout de jour, cette tristesse qui e dévoile au crépuscule, cette âme déchus, cette lune qui déborde de blancheur, ce voile de douceur, qu’attend-tu, dis lui ce qui tu préoccupe ? La fièvre des années, cet oiseau de nuit, comment s’appelle-t-il ? Ce tourment, nulle ne le sais, a présent, tous le long des quartes saisons, on attend toujours la moisson, serai-ce une année perdue, chaque chose a ça valeur, chaque être a son importance, tous devant l’évidence, faire de son mieux ! Et peut être tous sera mieux, quel importance ? c’est de mesurer les chance, tenir le bout de sa vie entre ces mains , relaver le défi, accepter la différence, les chemins montent, le sommet un pas de plus, le réussite un coup de souffle selon notre espérance , donner un sens, et suivre le bon sens, tous ce qu’on a , tous ce qu’on veux , tous ce qu’on peut, le contentement, le monde , le terre tourne autour d’elle, marchons vers elle, pour un avenir , qui nous unis .

The Thinker

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