La terre et le sang


La terre et le sang

Avec quoi nourrir les enfants

Qui joue avec les moutons

Qui va labourer les champs

Les champs de mais et de blés

Le vent qui souffle tous le temps

La pluie de printemps

La marche de piétons

Qui habite les tentes

Rendant visite à leurs tantes

Les moments d’attentes

Avec leur compte

Un the a la menthe

Mal au mal entente

Grand mère qui chante

La rage qui monte

La chaleur qui augmente

Le moment de séparation arrive


Le cœur se déchire

Il brule de l’intérieure

La tète crie

La langue ne veut plus parler

Je m’açois sur la fenêtre

Le soleil ne veut plus se lever

On dit l’amour tue

Moi si son stresse qui me tue

La misère s’abat sur moi

De l’intérieure je me gonfle

Mes rêves ne se réalisent pas

L’éclaire frappe sur mon corps

En moi s’allume un feu qui ne s’éteint pas

Plus un mot

Le moment de séparation arrive

Il arrive sans qu’on le ressente 

Mal adresse


J’ai une grande mal adresse

Plus rien qui m’intéresse

De ce monde je me désintéresse

Une vague de stresse

Un cri de détresse

Sans arrêt et sans cesse 

Sans raison, on tu laisse

Sans abri, on tu chasse

Sans force, on tu casse

Sache que tous passe

Un mur devant toi se dresse

Rien ne presse

Retire-toi avec sagesse

Calme dans ta tristesse

Seul et avec politesse

Caractères de noblesse

Dans ton cœur avec tendresse

Regarde le vent qui tu caresse

Le soleil qui tu lancera braises

 

(kessal samir) 

sourire


Un grand sourire pour partir,

Un long souhait pour revenir,

On dit que sa fait rajeunir,

Et moi je dis sa me fait bien dormir,

La nuit longue pour revivre,

Dans mon rêve tu es le plus beau sourire

Merci tous sa pour tu dire,

Combien tu es chère,

Pour toi je peur mourir,

Et sa me fait plaisir

Prend soin de toi pour finir

Tarwa n Tirga


imi aranagh akal uqbel ad nemt, nukid si tenfa nufad tirga mexalfa, tura narwa lemrta, netraju tgara ahat azeka ad yif ass-a negh ad nuh s’azzeka, din ulac yir tilufa, ghur Rebbi kulci yefra, ghef akken tella, ghures ak d win iteb3en abrid-is ddunit telha,nukni s wid yenumen tamara, n sarem, ad segem tmurt-a, nexdem ur nefighara, idh aken yebghu ghezif tasbhit labud ad dalli, tafat g itij ad alli, deg igni ad d fellali, a rebbi ay ahnin fekaghed tafat ad newalli, xas na3ya di tikli, arnuyaghed afud, adrar ad nalli, marican tebadh gher y itri, nukni negha kan telleli, negul tamazight ar tilli, idim la ingi deg izuran yurra s temazight, ass-a azeka, ur neknu i temuhqranit, a Rebbi 3iwnagh ad nec3el taftilt, yes ad newali.
iswi negh lezayer ad garez, yissem n wid yemuten ghef akal tajadit, yaw ad netba3tanaslit, tisas d lesas, xas qewant tixidas, xas tuqtent tekarkas, axam ad nebnu ghef lesas, tarwa n tirga, tura ad naki deg yir tanfa ad azel ghef azeka, ad anru asirem ghef udemawen n tarwa-negh d wid ak i lezayer uzeka.

hommage au peuple Amazigh dans le monde entier 

les mots


Lorsque les mots viens effleurer mon esprit, tous le long de la nuit, dans le sombre sommeil qui me suit, sans arriver à fermer l’œil. Quand on a que les mots pour faire sortir les sentiments de fond de notre cœur. De simples phrases pour exprimer les crient de douleur ou bien de bonheur,  extraire de sa pensée les plus beaux vers, semblable a des fleurs qu’on aime compler les jour de printemps, telle un vent d’automne qui viens chauve cher le long de notre corps, pareil a une pluies d’hiver qui lave notre sang, un soleil d’été qui embrase notre peaux de chaleur.

L’amour des mots qui fait jouir on nos sa verve qui pousse un poète a se donner a fond pour faire de ses lettre un enchainement qui euphorique un sens unique qui offre au lectures un certains jouissance, un bonheur dans un cœur, enfouie dans les soucis de la vie, un sourire dans un visage assombrie par la routine d’une vie de plus en plus cruel et injuste, de loin le poète viens dire ce que les gens ressentent  dans une société qui vogue a travers les chemins que chacun a choisie de suivre avec son plein gré au bien malgré lui, le poète est toujours la pour exprimer ce que le peuple vie et endure durant toute un vie, toute une existence.

 

new coeur


Tendre et cruel
Tous ça est réel
A la recherche de l’idéal
Trouver la perle rare
Je m’égard dans son regard
Le bonheur qui s’attarde
Le fer qui m’enchaine
Le vent qui se déchaine
Les vagues hautes 
Les bateau Flote
Je prends le large